31 décembre 2016. Moins d’une minute nous sépare de l’aube d’une nouvelle année. Mes pensées se retrouvent projetées vers des bribes de souvenirs. L’alcool coule à flot et les cris rythment l’ambiance électrique de la discothèque. Mon esprit se noie dans ce décompte assourdissant quand soudain, mes yeux se posent sur cette silhouette qui me semble familière. C’est elle, l’inconnue du restaurant ! Flashback érotique imminent.

02 février 2016. Je suis accompagné de ma troupe de joyeux lurons dans notre restaurant préféré. Les rires imposent leur loi. La fête bat son plein. Je suis assis face à l’assistance sur cette banquette confortable en cuir rouge. J’ai toujours adoré la sensation que procure cette matière. Non loin de l’entrée de l’établissement, un groupe de trois filles s’y trouve attablé. Malgré l’ambiance qui se dégage de notre groupe et le dévouement dont je fais preuve à mes amis, je ne peux ignorer ce regard insistant qui me dévore timidement mais puissamment. Une jeune femme aux traits fins semble apprécier le spectacle. De loin, j’aperçois ses petits seins fermes, ses mains blanches et son visage de poupée. A mon tour, je déguste ce moment en me laissant happer par mes pensées coquines. Si elle devait être un dessert, elle serait une tarte aux fraises. J’aimerais lécher délicatement les fraises qui surplombent sa crème onctueuse et légère. Sentir la fraîcheur de ses fruits sucrés envahir mes papilles, stimuler mes sens. Elle se lève et se dirige vers l’arrière du restaurant en me jetant un regard provoquant et des plus assurés. Sans réfléchir, mon corps se relève et la poursuit.

Je lui succède dans cet escalier menant à la cave. Nos jambes s’enfoncent le long de ces briques rouges et dans cette atmosphère de plus en plus sombre. Je sens qu’elle m’observe subtilement dans sa descente. La porte branlante des toilettes ne s’est pas encore refermée que ma main exerce une pression ferme sur cette dernière. Elle se trouve debout devant moi. Elle ne bouge plus. Je me saisis alors de sa taille et l’embrasse avec fougue. Elle peut sentir ma queue se durcir contre son ventre. Avant même d’avoir eu le temps de lui attraper les fesses, je l’observe tomber lentement sur ses genoux. Le bruit de ma braguette me donne la confirmation que mon pantalon semble suivre sa descente infernale… Elle en extrait une verge gonflée et dure.

La caressant du bout de ses doigts, elle commence un va-et-vient très sensuel. Je sens l’excitation s’emparer de mon corps. Enfin, une sensation de chaleur parcourt mon sexe en commençant par son extrémité avant de s’épanouir pleinement au fond de sa bouche qui me suce savoureusement, passionnément. Le temps s’est arrêté. Un client pourrait nous surprendre.

Je relève alors cette sauvage inconnue pour la retourner face au miroir qui se trouve au dessus du lave-mains de la pièce. J’arrache sa culotte blanche littéralement humide et enfourne mon chibre dans son antre brulant. Je la vois nous observer dans le miroir qui nous domine de sa hauteur. Nos regards complices s’y croisent sans pudeur. Je calme les mouvements de mes hanches, afin de laisser nos sensations s’étaler vigoureusement. Les ongles de ses doigts s’enfoncent dans ma nuque, ses gémissements s’évanouissent dans l’étroitesse des murs qui nous câlinent et la douceur de son con s’amplifie par d’amples mouvements de bas en haut.

Elle est en fusion, un volcan au bord de l’éruption. Son soutien-gorge a souffert de la violence de nos ébats. A moitié dénudée, elle exhale des fragrances vanillées que l’intensité de l’effort, dans cette chaleur enivrante, a libérées. Mon désir ne s’en trouve que décuplé. Elle s’en amuse et m’encourage à la malmener. De son regard de chienne, elle m’encourage à précipiter le rythme de mon exploration. Ma main gauche exerce une pression sur sa poitrine pendant que ma main droite serre son fessier. Ses dents arrachent ma main et entrainent mon index et mon majeur sur sa langue. J’entends un léger bruit de succion se mêler à ces gémissements de plus en moins contrôlés.

Alors que j’étais excité mais pas au point de jouir, je la sens se crisper sauvagement. La contraction de son vagin enserre ma queue. Elle arrache le préservatif et suce soigneusement mon chibre gluant, qui se gonfle ardemment. Tandis que ses doigts caressent mes parties, je tente de dissimuler le plus discrètement possible un puissant cri de soulagement. Son sourire malicieux, son regard rempli de satisfaction, accompagnent la pression exercée entre ses lèvres pour en extraire les derniers reliquats de liqueur. Je la prends dans mes bras et sans dire un seul mot, je la laisse consciemment s’évaporer. Quel est son prénom ?

MySexMind

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